- “Toc, toc, toc, je peux entrer …

- Non, il encore trop tôt …

- Tant pis, je reviendrai … !”

Pourtant tout avait été parfaitement agencé :

Mine des meilleurs jours, nouvelles baskets des plus seyantes, ciel bleu et …

“trou noir”  …

Même Martine, voisine croisée à l’envol de l’artiste n’en n’est toujours pas revenue.

Il faut avouer que le chemin parcouru en si peu de temps : terre, ciel, ciel terre, cinq fois de suite par “PdF” (Patrick de Falvard), ça fait partie des exploits de l’année; Performance qui en aurait étonné plus d’un, même en cette année Olympique.

Mais l’athlète a des ressources, ce voyage intersidéral n’aura finalement pour seul effet que de rafraîchir inconsidérément son corps, au point que le curare sera nécessaire pour le ramener entièrement parmi nous … !!!

- “Martine, sais-tu ce qui m’est arrivé la semaine dernière … ?”

Peut-être une phrase magique, transmise depuis la glorieuse époque de Merlin l’Enchanteur et que Patrick a l’habitude d’utiliser lors de ses “crises mystiques” !

“La musique bat dans mes veines au rythme de mon cœur, à deux on est plus fort … ! “

Impossible de ne pas finir le travail commencé, les voyages attendront.

Aujourd’hui comme hier, la vie de “PdF” tourne comme les vinyles de l’époque, entre mélodies et compositions. Inlassablement il donne vie aux notes afin de les offrir aux mots, ensuite il les donne en cadeau aux plus démunis et aux mélomanes; alors ce qui va lui arriver en ce jour du 21 Avril 2012 ne doit en aucun cas ralentir sa quête d’absolu.

Surtout qu’avec Michel Polikar et Sébastien Decoster le spectacle continue, autrement plus grandiose que cette modeste sortie que la vie a voulu lui imposer !

Il n’aime pas la médiocrité, Edith brillante violoncelliste et compagne musicale ayant migré sous d’autres cieux, d’autres viendront prendre sa place afin de continuer l’évolution qualitative de l’artiste.

Mais revenons aux premiers pas de cet homme qui “Croit” s’en aller parcourir en footing les rives du Drac, il n’a pas encore commencé, comme Hussein Bolt il va rater son départ.

Ne lui demandez pas pourquoi, il ne se souvient de rien, il regrette après coup de ne pas avoir eu le temps de raconter à sa “voisine” ce qui lui est arrivé la semaine dernière,

peut-être même que cet oubli fâcheux interféra sur la qualité du “départ” ?

Toujours est-il qu’une kiné, “Manu”, comme la fée Clochette, vint à cet instant lui prodiguer les premiers soins.

- Le cœur de notre homme venait subitement de s’arrêter !

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Patrick de Falvard et son groupe sont venus jouer à Château Bernard le 4 septembre.

Patrick de Falvard fait parti de ces hommes qui ont décidé de résister au temps en lui offrant régulièrement chansons et bonne humeur.
Incantations qui permettent de ralentir, sinon annuler, les effets pervers des contingences sociales.
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Ambiance feutrée, intimiste, vendredi 28 octobre à la Guinguette, à Fontaine.

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Journaliste: Bonsoir M. de Falvard, Bienvenu au Canal Rêve. Né en Auvergne, vous habitez Grenoble, vous chantez plutôt pour le plaisir et pour faire plaisir aux autres, vous composez la musique et vous écrivez les paroles de vos chansons. Vous écrivez de pas mal de choses, vous chantez l’amitié, la tendresse, la beauté l’amour, Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire la chanson « Le portable »?

Patrick de Falvard: En entendant les utilisateurs en parler autour de moi, pendant les concerts les portables sonnent sans se soucier des “artistes” ! Étant moi même utilisateur depuis 1994, j’ai eu envie d’écrire et chanter sur ce fait de Sté !

Journaliste: Est-ce que « Le portable » a du succès? Cette chanson est-elle plutôt chantée par les jeunes ou les plus âgés?

Patrick de Falvard: “Le Portable” a du succès (une cinquantaine de téléchargement sur France MP3, et 150 écoutes directes depuis le mois d’octobre) ! Lors de nos concerts elle est reprise, autant par les ados que par les adultes ! (attention à partir du 1 janvier 2002 vous pourrez me trouver sur Vitaminic, FMP3 ayant été racheté)

Journaliste: Parmi vos chansons, quelle est votre chanson préférée et pourquoi vous tenez à cette chanson?

Patrick de Falvard: Il m’est difficile de vous répondre car j’écris selon mes pulsions du moment et dans des genres complètement différents ! En ce qui concerne les morceaux qui sont actuellement sur mon site, j’aurai un faible pour “Vague à l’âme”, je suis assez fier de la mélodie et les paroles reflètent bien “mes états d’âme” du moment, en toute confidence je n’ai pas encore l’argument qui me permettrait de changer le dernier couplet !

Journaliste: Quel serait votre conseil à nos jeunes téléspectateurs qui désirent devenir des musiciens?

Patrick de Falvard: Je suis un autodidacte, je joue de la guitare depuis 5 ans seulement et j’ai appris tout seul “à l’oreille” en revanche je suis un excessif j’ai travaillé “des suites d’accords simples” pendant des heures mais sans jamais me lasser. J’ai ensuite travaillé avec certaines chansons d’un ami auteur compositeur (ex idole des années 60 et dont je parle sur mon site).
En qui concerne les paroles et les musiques c’est venu comme ça, j’écris et je compose d’un seul jet, mais comme je suis un fainéant je ne reviens que très rarement sur mes textes.
En revanche pour les musiques j’ai plein d’idées que je n’arrive pas à exprimer car je suis un piètre instrumentiste, je soumets donc ces idées à des amis musiciens qui traduisent et participent aux arrangements.
Les seuls conseils que je pourrai prodiguer en ce qui concerne composition et écriture : “laissez parler vos pulsions, votre cœur” la force de votre ressenti doit “transpirer” dans les mots et la mélodie.
En ce qui concerne les interprétations et le jeux de l’instrument : “travailler, travailler” et surtout n’ayez pas peur de jouer et chanter pour les autres, le partage des émotions est ce qu’il y a de mieux pour se donner de la force !

Journaliste: Merci, Monsieur de Falvard de votre accueil si chaleureux. Nous invitons maintenant nos téléspectateurs à vous rendre visite sur votre site.

Source de l’article http://babelnet.sbg.ac.at/canalreve/chanson/interview.htm

Samedi 13 mars à 16h “PdF” (Patrick de Falvard), présentait un CD démo 8 titres (Des mots) au cours d’un “Show-case” chez Arthaud espace disques (Grenoble), les clients venus faire leur provision de CD ont eu la surprise de pouvoir assister à 1 heure de “spectacle live” autour de “Chansons d’amour et plus … ” titre du prochain spectacle donné par “PdF” et ses “Potes” au cabaret “le Grenier” vendredi 2 avril à 20h45.

Les sujets traités dans les textes sont tendres, mélancoliques, drôles, voire “coup de gueule”, sujets traités mille fois mais ici on y trouve une sensibilité et un humour à la hauteur du vécu et de la personnalité de l’auteur !

Il nous dit en chansons qu’il “s’est mis à chanter depuis que sa femme s’est barrée …”, nous parle de ces/ses “amours platoniques, qui nous poussent à l’analyse tellement on s’enlise …”, de “Antoinette, depuis qu’il l’a dans la tête son cœur est en tempête …” , de “Sacha qui arrive dans un drôle de monde où l’on entend parler que de bombe”, et aussi “du temps qu’il passe dans les grandes surfaces où il se lasse de ne pas la trouver …” sans oublier bien sur ce fameux “Petit bout de bakélite, qui s’installe dans un monde qui s’effrite et dont on est tous accroc”… !

Chaque chanson est différente, les musiques qui ne se ressemblent pas non plus, sont mises en valeur par Philippe Nuss et Michel Polikar brillants guitaristes, bref le tout en droite ligne de la chanson française de qualité.

Au fil des morceaux “PdF” lance quelques phrases drôles pour accrocher ce public surpris, lui intimant son souhait de se savoir écouté … ce qu’il fait sans trop se faire prier car rien n’est agressif dans les accroches de Patrick.

Il sera bon d’aller l’entendre au cabaret “le Grenier” où, dans une ambiance qui s’y prête, le coté intimiste de cet artiste devrait prendre sa véritable valeur.

Plume De Presse :

Pourquoi Athaud espace disques ?

PdF : D’abord parce que je suis client depuis plus de 30 ans, ensuite parce que les responsables de cet espace disques font une large place à la “jeune scène locale” …

PDP :

Quand et comment est née cette démo et pourquoi l’avoir appelé “Des Mots” ?

PdF :

Je suis un autodidacte qui a la chance d’avoir des amis “anciennes vedettes” du show-biz,

Jacky Pasut, premier guitariste de Dutronc, ingénieur informatique fou de son et de plus excellent arrangeur à ses heures perdues, Jean-Pierre Mami, 20 ans à l’Olympia comme régisseur plateau et 20 ans au service de Gilbert Bécaud et qui a un “home-studio” dans son chalet à Lans en Vercors.

Tout a commencé en 2001 avec Jacky, pour “rire” je lui ai demandé de me faire une maquette, dans l’heure qui a suivie il avait sorti ordinateur, table de mixage, micros et guitares … obligé d’aller au bout …

Je lui ai chanté une dizaine de chansons, il m’a dit je prends ces quatre là.

Le lendemain matin il m’a dit qu’il avait fini les bases rythmiques pendant la nuit et qu’après le café je pouvais faire les voix … !

Un mois après je recevais par la poste un premier jet de la maquette.

PDP :

Tout ça en studio avec des musiciens ?

PdF :

Non, dans sa maison, une grande partie à l’ordinateur et les guitares lui surtout, un de ses ami Thierry Large et un peu moi.

PdF :

Avec JP Mami ce fut différent, d’abord parce qu’il habite à ½ heure de chez moi, donc plus simple et qu’il travaille à l’ancienne, en analogique.

Pas d’ordinateur, un clavier, un synthé une table de mixage et un banc de montage multipistes-MD.

Je lui ai chanté quelques chansons, lui ai dit que “j’entendais” là des rythmes plutôt “bossa” avec “percussions légères et violoncelle”, là plutôt “fanfare”, il a choisi plusieurs chansons, m’a fait des “play-back” sur MD (Mini disque), nous avons rectifiés, j’ai fait voix et chœurs chez lui pour 2 morceaux, ensuite j’ai enregistré dans mon “home-studio” et j’ai fait moi-même les arrangements, pas “tops” d’ailleurs.

Les huit morceaux que vous avez sur cette “démo” son nés comme ça entre fin 2001 et début 2003.

PDP :

Pourquoi “Des mots”

PdF :

D’abord parce qu’il y a un morceau “éponyme” comme on le dit souvent de nos jours, ensuite parce que je penses que mes textes sont des suites de mots qui veulent dire des choses et puis le “jeu de mots” bien sur comme dirait “maître Capello” !

PdF :

Vous allez mettre tout ça dans votre article ?

PDD :

Je vais essayer de faire en sorte que l’on ne coupe rien !

Bonne chance pour le 2 avril, on viendra vous écouter.

PdF :

Merci

“Plume de Presse”    15 mars 2004

La guitare égraine ses notes qui, libérées, vont se heurter aux voûtes de la pièce. Les invités accompagnent en tapotant dans leurs mains. Une douce température règne dans la vaste salle.

Dehors, un silence absolu, le froid est vif, la nature s’est habillée de neige et les maisons du village de Château-Bernard décorées de lumières scintillent, la vie nocturne semble figée. Le poids de l’air extérieur, glacial appuie sur tout ce qui vit comme pour le maintenir cloué au sol.

Dans la salle l’ambiance est électrique, soudain chacun se met à accompagner les secondes, matérialisées par la voix elles s’écoulent lentement. Le ton augmente : “zéro, il est minuit, nous sommes en 2004 et bonne année à tous … !”.

PdF anime la soirée depuis 20h … installé dans la salle à manger du gîte “La Marguerite”, il dispose du public à sa guise grâce à un imposant répertoire avec lequel il imprime le

rythme … Il distille au choix : de la joie, de la tendresse, du rire ou de la mélancolie ponctué de temps en temps par un coup de gueule sur la sté …

C’est un auteur-compositeur-interprète qui sait jouer avec les sentiments.

Il chante l’amour et la vie avec passion, cette vie qui est loin d’être un long fleuve tranquille !

Il a croisé un jour Christine Janin, Médecin-Alpiniste et directrice de l’association A chacun son Everest !, depuis ce jour, il va tous les vendredis de juillet et août chanter à Chamonix  pour ces enfants malades en compagnie de son ami et partenaire Philippe Nuss conteur mais également auteur-compositeur-interprète, il a décidé de faire un bout de route avec eux en retour, leurs sourires représentent la plus belle des récompenses …

La nuit a été courte, ce soir c’était la fête, la musique l’art le mieux compris à travers le monde. Les mots dans leur écrin musical, vont droit au cœur … il le sait “PdF et il en joue comme un marionnettiste, il tire sur les ficelles et anime les personnages, les sentiments vont et viennent aux rythmes des morceaux.

Pour ceux qui voudraient le rencontrer, il sera les 8 et 9 janvier au cabaret “Le Grenier” à Grenoble avec Philippe Nuss et des amis surprises pour la bonne cause. Il voudrait que vous deveniez les nouveaux “Sherpas” de cette “cordée du cœur” qui accompagne les enfants sur le dur chemin de la guérison, le spectacle s’appelle “Chansons d’amour et traits d’humour” et c’est au profit d’A chacun son Everest !

Gilles Grindler

PdF (Patrick de Falvard) est un auteur-compositeur-interprète, qui met sa passion au profit du public depuis 1998, nous l’avons rencontrer cet été au col de l’Arzelier …

Q : Pourquoi Château Bernard ?

R : J’avais besoin de me ressourcer et de perdre quelques grammes, …

Il me fallait surtout un endroit calme pour pouvoir trouver des musiques et travailler des chansons jamais interprétées en public.

A Château Bernard un couple d’amis, Maggy et Gilles Grindler ont un gîte de séjour accueillant, “la Marguerite”, je leur devais une visite depuis longtemps, je regrette de ne pas être venu plus tôt !

Q : Comment s’est passé ton séjour ?

R : Gilles a eu la patience de me “coacher”, je n’avais pas remis mes chaussures de running depuis 8 ans.

Les petits plats de légumes du jardin cuisinés par Maggy, m’ont rééquilibré !

Leur gentillesse et leur écoute m’ont permis de travailler en toute sérénité, j’ai même profité de la clientèle du gîte pour “roder” mon nouveau répertoire en public …

Q : Quels sont tes projets pour la rentrée ?

R : Courant septembre deux soirées privées, dimanche 28 septembre une scène ouverte au “Café des arts”, samedi 18 octobre et samedi 13 mars présentation d’un CD 8 titres Arthaud “espace musique” courant 2004 les apéritifs en chansons et les spectacles au “cabaret le Grenier” et à la Guinguette.

Q : Parles-nous un peu d’A chacun son Everest !

R : C’est une association dont s’occupe le médecin alpiniste Christine Janin, destinée à accompagner des enfants atteints de leucémie sur le dur chemin de la guérison.

Avec mon compagnon Philippe Nuss, nous allons à la rencontre de ces enfants les vendredis de fin de stage en juillet et août depuis 1997, afin de leur faire un spectacle de contes et de chansons, nous donnons aussi, en compagnie d’autres amis musiciens, des concerts dont la recette intégrale leur est reversée.

“Le cabaret le Grenier” nous met sa salle à disposition le jeudi 8 et le vendredi 9 janvier 2004, le restaurant de la “Table Ronde” reversera à l’association 3 € sur tous les repas pris par les spectateurs ces deux soirs là…

Gilles Grindler, que j’ai connu à travers le festival du film humanitaire, œuvre avec l’office du tourisme pour la même cause afin de réaliser ce spectacle en l’église de Château Bernard … toujours la même préoccupation : “la recette intégrale pour l’association”.

Nous avons donné cet été ce spectacle chez des particuliers, il a permis de “récolter” 1 320 € … si certaines personnes souhaitent faire la même chose dans leur propriété, elles peuvent prendre contact avec moi, nous sommes prêts à nous déplacer.

Q : Mais que retirez-vous de tout cela et comment gagnez-vous votre vie ?

R : Depuis que nous rencontrons ces enfants, nos petits “bobos” n’ont plus de prise sur nous, cela nourrit mon âme, mais je ne fais pas que du “caritatif, je suis ouvert pour des concerts acoustiques (duo ou trio) dans des salles des fêtes ou des “bistrots-restos” du coin et ce afin de rembourser une partie du matériel, et puis j’ai un métier …mais faut pas le dire, je suis directeur commercial dans un SSII.

Martine Nier

Le 25 septembre 1999 à 20 heures dans l’abbatiale de Léhon, aura lieu un concert acoustique donné au profit de l’association d’un Doteur Janin “A chacun son Everest“.

Patrick de Falvard et Philippe Nuss sont 2 chanteurs grenoblois dont le répertoire se compose de chansons personnelles et de reprises de chansons “à texte” francophones.

Ce soir là, ils vont chanter une nouvelle fois pour l’association …

Le Petit Bleu des Côtes d’Armor 9 septembre 1999

Le coeur et la réflexion …

.Le public était très clairsemé, samedi soir, pour la soirée de clôture, mais ceux qui étaient présents purent assister à une prestation de grande qualité, emplie de constante sincérité : Patrick de Falvard (ami de Christine Janin) ont chanté au son de leurs guitares, des compositions personnelles et des chansons de Brassens, Cabrel, Dutronc, Souchon, le Forestier …

Patrick de Falvard a rencontré Christine Janin en Avignon. Touché par son oeuvre envers les malades, il désire lui aussi apporter sa contribution à ces “petits”, avec un ami, Philippe Nuss, rencontré par hasard en gare de Grenoble.

Depuis, ils donnent de nombreux concerts pour l’association. Dernièrement avec un ami pianiste, auteur compositeur, Claude Hazan, ils ont joué à la “table ronde” et seront en concert à Guillonay le 12 juin prochain et le 18 juin à Saint Nizier en attendant la sortie d’un CD de 4 titres en fin d’année toujours au profit de l’association.

Philippe et Patrick, au milieu de l’exposition “aux frontières de l’Himalaya” des exploits de Christine Janin et des dessins des jeunes vifois, surent pincer leurs cordes, comme ils surent faire vibrer celles du public au niveau du coeur …

…

Bernard Laroche    Dauphiné Libéré du 6 juin 1999

Le mariage du goût et de l’ouie, ces deux sens ô combien essentiels chez l’humain, était de la partie, dernièrement au restaurant l’Ombrage rêvé. De nombreuses personnes étaient donc venues déguster le repas italien proposé par Gisèle et découvrir deux musiciens de charme pour un concert acoustique. Patrick de Falvard et Philippe Nuss, auteurs compositeurs, accompagnés ce soir là par la chanteuse Paola, ont interprété quelques morceaux choisis parmi leur répertoire personnel. Dans la salle, les spectateurs attentifs pouvaient déguster une bonne salade campagnarde, des lasagnes, fromages et salade de fruits, tout en se laissant bercer par de belles mélodies.

Tous étaient enchantés de cette soirée conviviale qui sortait un peu du traditionnel.

Dauphiné libéré du 25 avril 2000